Avez-vous entendu parler de la culture cosmo-tellurique ? Son objectif est de développer la croissance des végétaux et des semences en amplifiant les énergies naturelles. En effet, les conditions climatiques et la nature du sol ne sont pas les seuls éléments qui contribuent à la culture. Les courants électriques, le magnétisme terrestre et les ondes cosmiques ont également un impact. C’est ici que la geopractie, ainsi que la géobiologie, entre en jeu pour mettre en lumière la présence d’énergies naturelles et éradiquer certaines perturbations afin de retrouver un équilibre parfait.
Les énergies de la terre et du sol pour une croissance optimale
La cosmo-tellurique est une discipline qui est pratiquée depuis plusieurs siècles. Elle repose sur l’utilisation des énergies naturelles, cosmiques et telluriques. En effet, comme le rappellent les spécialistes en géobiologie, les végétaux ont des besoins énergétiques qui varient.
Afin de se développer de manière harmonieuse, ils captent les énergies de la terre et du ciel. Pour comprendre cela, il suffit par exemple d’observer la croissance des végétaux après un orage : l’électrisation de l’air et l’ionisation négative leur permettent de mieux pousser.
La géopractie pour optimiser les énergies cosmo-telluriques
La géopractie s’attèle à concentrer les végétaux vers les énergies bénéfiques. Pour cela, un spécialiste procède à une analyse du terrain afin de dresser un bilan sur les perturbations présentes mais aussi sur le contexte cosmo-tellurique. Il peut alors faire part de ses préconisations afin de dynamiser la croissance des végétaux et mettre en place certaines actions : enterrer des fils conducteurs, des aimants ou des barres métalliques, planter un collier en cuivre ou une perche métallique dans le sol… L’objectif est d’exploiter de manière optimale les énergies présentes dans le champ électromagnétique terrestre, les rayons cosmiques et les courants électriques présents dans le sol ou dans l’air.
L’équilibre est alors retrouvé, les plantes et toute forme de végétaux peuvent alors suivre une bonne croissance.