Le réchauffement climatique est l’affaire de tous. L’immobilier ne déroge pas à la règle, et l’on constate un fort engagement des professionnels, notamment au niveau des promoteurs, afin d’améliorer les logements en matière de consommation d’énergie et de respect de l’environnement comme par exemple Spirit Immobilier, mais aussi Woodeum ou Eiffage.
L’impact de l’immobilier sur l’environnement
Il faut avant tout prendre conscience de l’impact de l’immobilier sur l’environnement. C’est en effet l’un des principaux responsables, avec le transport, de l’émission de gaz à effet de serre : en France, 25% du CO2 provient des bâtiments. Rajoutons à cela une augmentation de 30% de la consommation d’énergie dans les bureaux et les logements au cours des 30 dernières années, et l’on comprend l’urgence…
C’est donc tout logiquement que le Grenelle de l’environnement a fixé diverses normes afin d’encadrer et d’endiguer cette croissance. Les professionnels ont alors dû s’adapter, et entrer dans une démarche d’immobilier « durable » avec un respect de plus en plus poussé de l’environnement. Spirit Immobilier fait partie des acteurs engagés, et a fait de l’environnement l’une de ses principales valeurs. Des solutions sont continuellement analysées et développées, afin d’améliorer la performance des bâtiments dans un souci constant de l’environnement, avec une consommation en énergie et en eau maîtrisée.
Les différentes normes environnementales de l’immobilier
Parmi les normes les plus connues, on retrouve la RT 2012. L’objectif de cette réglementation thermique, entrée en vigueur au 1er janvier 2013, est de limiter la consommation d’énergie primaire dans les bâtiments neufs. Les bâtiments ont ainsi une quantité maximale d’énergie à consommer en matière de chauffage, de climatisation, de production d’eau chaude ou encore d’éclairage. On a constaté une nette amélioration de la performance des bâtiments depuis cette norme, qui a depuis été remplacée par la RT 2020 (cette dernière entrant en application fin 2020). Cette nouvelle version de la réglementation thermique va encore plus loin, dans le sens où son objectif est de généraliser les bâtiments à énergie positive (les BEPOS), produisant plus d’énergie qu’ils n’en consomment.
Le label « Bâtiment Basse Consommation » (BBC) est également une norme à prendre en considération. Elle a également pour but de contribuer à la diminution de la consommation énergétique des bâtiments neufs. Ces derniers doivent afficher une consommation d’environ 50 kWh/m² par an pour l’éclairage, le chauffage, la climatisation, la ventilation et l’eau chaude. Le label BBC a été utilisé jusqu’en 2013, puis remplacé par des normes plus exigeantes.
On peut encore citer la certification NF HQE™, mise en place en 2004. La Haute qualité environnementale (plus connue sous son sigle HQE), analyse un bâtiment dans sa globalité, entendez par là au niveau de son aspect écologique, mais aussi sociétal, numérique et économique. Il existe par ailleurs un label THPE, Très haute performance énergétique, qui vise une diminution de 20% de la consommation d’énergie. Enfin, depuis fin 2016, on trouve également le label E+C-, « énergie positive, réduction carbone », qui est actuellement en phase d’expérimentation auprès de certains promoteurs immobiliers.
Notre avis sur ces promoteurs engagés
Avec un concept à 150% engagé (bois massif, issu de forêt FSC, reboisement, etc…) Woodeum mérite certainement une médaille d’or ou de platine pour son engagement total et complet.
Notre avis sur Spirit Immobilier est que la durée de son engagement est également louable : faire son maximum pour respecter une certaine éco responsabilité dans un monde régi par une concurrence féroce où l’on cherche à obtenir le meilleur gain financier est, sans aucun doute, une prouesse admirable.